L’ONU RESTRUCTURÉE POUR DÉFENDRE L’HUMANITÉ CONTRE LES MENACES DE SON EXTINCTION

Fernando Alcoforado*

Cet article vise à présenter une synthèse des conclusions finales sur la manière de défendre l’humanité contre les menaces d’extinction causées par les êtres humains, par les forces de la nature existant sur la planète Terre et par celles venant de l’espace extérieur. Cet objectif ne pourra être atteint que s’il existe une organisation supranationale capable de rassembler toute l’humanité dans sa réalisation. Cette organisation supranationale serait l’ONU (Nations Unies) si elle était correctement restructurée pour agir pour éviter les menaces d’extinction de l’humanité causées par les êtres humains eux-mêmes [1], qui concernent au changement climatique mondial, aux pandémies et au déclenchement de la 3ème Guerre mondiale, pour éviter menaces causées par les forces de la nature existant sur la planète Terre [2] qui concernent le refroidissement du noyau de la planète Terre, les éruptions catastrophiques des volcans et le renversement des pôles magnétiques terrestres, dont le processus entraînerait la perte du champ magnétique terrestre et pour éviter les menaces venant de l’espace extérieur [3] qui concernent la collision sur la planète Terre d’astéroïdes, de comètes ou de morceaux de comètes, la collision sur la planète Terre de planètes du système solaire, la collision sur la planète Terre de planètes orphelines qui errent dans l’espace, l’émission de les rayons cosmiques, notamment les rayons gamma émis par les étoiles supernovae, les conséquences catastrophiques sur l’environnement terrestre résultant de l’augmentation continue de la distance de la Lune à la Terre, la mort du Soleil, la collision des galaxies d’Andromède et de la Voie lactée où se trouve la Terre, et la fin de l’Univers. 

À l’heure actuelle, l’ONU agit de manière très limitée et inefficace dans la résolution des problèmes liés à l’environnement, traitant essentiellement des questions de changement climatique par le biais du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). L’ONU agit également de manière limitée et inefficace dans la lutte contre les pandémies par l’intermédiaire de l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et également de manière limitée et inefficace dans la lutte contre les questions liées à la guerre et à la paix mondiale avec le Conseil de sécurité composé des pays vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale (États-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni et France), tous dotés d’un droit de veto. Ces structures n’ont pas été en mesure de faire face aux menaces décrites ci-dessus. L’objectif du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) se limite uniquement à lutter contre le changement climatique, sans chercher, par exemple, à changer le modèle de société actuel afin de le transformer en une société durable. L’objectif de l’OMS est uniquement de s’attaquer à l’une des dimensions de la question des pandémies, à savoir la santé publique et la production de vaccins, et non de lutter contre les vecteurs provoquant des pandémies présents dans l’environnement. L’inefficacité du Conseil de sécurité de l’ONU à assurer la paix mondiale s’est confirmée depuis sa création après la Seconde Guerre mondiale au vu de la multiplicité des guerres survenues depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, ce qui nécessite la création d’un nouveau structure capable d’agir comme médiateur et d’éviter les conflits internationaux et, surtout, le déclenchement de la 3ème Guerre mondiale.

L’ONU doit être restructurée afin de coordonner les actions visant à empêcher l’extinction de l’humanité à cause des menaces causées par les êtres humains, par les forces de la nature provenant de la planète Terre et celles venant de l’espace extérieur. Pour atteindre ces objectifs, l’ONU devrait acquérir le statut de gouvernement mondial. Ni l’actuelle ONU ni aucun pays, aussi puissant soit-il, ne sera en mesure d’accomplir cette tâche. L’existence d’un gouvernement mondial démocratique représenterait l’étape la plus avancée de l’évolution de l’humanité en créant les conditions d’une véritable intégration politique, économique, sociale, scientifique, technologique et environnementale de tous les pays du monde, fondée sur un contrat social planétaire approuvé par tous les gens du monde. Un gouvernement mondial démocratique est absolument nécessaire pour coordonner l’action de tous les pays du monde aux niveaux de l’économie mondiale, de l’environnement, de la science et de la technologie et, surtout, pour assurer la paix mondiale sur notre planète et éviter l’extinction de l’humanité. Le nouveau système international devrait fonctionner sur la base d’un contrat social planétaire. Le Contrat Social Planétaire serait la Magna Carta des habitants de la planète Terre.

Pour élaborer le Contrat social planétaire, l’Assemblée générale des Nations Unies devrait convoquer une Assemblée mondiale constituante avec la participation de représentants de tous les pays du monde élus à cet effet. Le Contrat Social Planétaire devrait établir les fondations qui serviraient de base à l’union des peuples du monde et à l’existence d’un Gouvernement mondial dont le président devrait être élu avec plus de 50% des voix du Parlement mondial et être également démocratiquement constitué. Pour garantir une pratique et une gouvernance démocratiques sur la planète Terre, le pouvoir mondial devrait être exercé par le Parlement mondial qui, en plus d’élire le président du gouvernement mondial, devrait rédiger et approuver des lois internationales basées sur le contrat social planétaire. Le Parlement mondial devrait être composé d’un nombre déterminé et égal de représentants de chaque pays démocratiquement élus à cet effet. Le Président du Gouvernement Mondial n’exercera le commandement du Gouvernement Mondial que tant qu’il aura le soutien de la majorité du Parlement Mondial. Le gouvernement mondial doit disposer d’une structure organisationnelle capable de gérer les relations internationales, les questions militaires, l’économie mondiale, l’environnement mondial, l’éducation, la santé, les infrastructures, la science et la technologie, entre autres, pour dialoguer avec le Parlement mondial et les pays. qui font partie du système international.

Les parlementaires devraient élire le conseil d’administration du Parlement mondial, qui aurait une structure organisationnelle appropriée. La Cour suprême mondiale devrait être composée de juristes de haut niveau du monde entier, approuvés par le Parlement mondial, qui agiraient pour une période de temps déterminée et devraient élire le président de la Cour pour un mandat d’une durée déterminée. La Cour Suprême Mondiale devrait juger les affaires impliquant des différends entre pays, des crimes contre l’humanité et la nature commis par les États nationaux et les dirigeants à la lumière du Contrat Social Planétaire, juger les conflits qui existent entre le gouvernement mondial et le parlement mondial et agir en tant que gardienne du Contrat Social Planétaire. Le gouvernement mondial ne disposera pas de ses propres forces armées et devra compter sur le soutien des forces armées des pays qui seront sollicités en cas de besoin. Par conséquent, la nouvelle règle du droit international serait exécutée par les trois puissances constituées: le Gouvernement Mondial, le Parlement Mondial et la Cour Suprême Mondiale. Le pouvoir mondial reposerait entre les mains du Gouvernement mondial, du Parlement mondial et de la Cour suprême mondiale. Le Gouvernement mondial, le Parlement mondial et la Cour suprême mondiale agiraient comme des freins et contrepoids visant à l’efficience et à l’efficacité du système international.

Un gouvernement mondial démocratique ne transformerait pas les gouvernements de chaque nation en vassaux parce que les gouvernements nationaux maintiendraient leur autonomie sur leurs territoires et seraient gouvernés conformément aux intérêts de leur peuple, tandis que le gouvernement démocratique mondial aurait pour objectif de défendre les intérêts généraux des nations de la planète exprimés dans le Contrat Social Planétaire. Ce qui ne serait pas acceptable, c’est qu’un gouvernement national adopte des mesures qui seraient en contradiction avec les décisions d’intérêt général prises par le parlement mondial et qui refléteraient la volonté de la majorité des peuples du monde. Le fait est qu’un gouvernement mondial démocratique éviterait l’empire d’un seul pays, comme cela s’est produit tout au long de l’histoire, et l’anarchie de tous les pays, comme c’est le cas actuellement. La construction d’un gouvernement démocratique mondial est nécessaire pour faire face à des catastrophes systémiques majeures telles qu’une crise écologique extrême résultant du réchauffement climatique, une crise économique de grande ampleur comme celle qui se produit actuellement et susceptible de s’aggraver à l’avenir, la mondialisation du crime organisé, les menaces contre la vie sur la planète Terre causées par la planète Terre et celles venant de l’espace extérieur et l’avancée du terrorisme. La défense de l’humanité contre les menaces contre son existence existant sur la planète Terre et venant de l’espace extérieur et la préservation de la paix internationale seraient les grandes missions de la nouvelle ONU restructurée en gouvernement mondial démocratique.

Il est nécessaire de comprendre qu’il n’y aura pas de paix mondiale et que le marché mondial ne fonctionnera pas correctement sans la primauté du droit international, qui ne peut être appliquée et respectée qu’avec la présence d’un gouvernement mondial accepté par tous les pays. Un gouvernement mondial ne sera durable que s’il est véritablement démocratique. L’humanité doit comprendre qu’elle a tout à gagner à s’unir autour d’un gouvernement mondial démocratique qui serait établi avec la restructuration de l’ONU. Le nouvel ordre mondial doit être construit pour organiser non seulement les relations entre les hommes à la surface de la Terre, mais aussi leurs relations avec la nature. L’ONU doit coordonner les actions mondiales pour garantir que l’humanité reçoive le plus rapidement possible les instruments nécessaires pour contrôler son destin. La nouvelle ONU, qui sera restructurée en un gouvernement mondial, devrait poursuivre cinq objectifs majeurs : 1) éviter les menaces d’extinction de l’humanité causées par le changement climatique mondial ; 2) éviter les menaces d’extinction de l’humanité causées par les pandémies ; 3) éviter les menaces d’extinction de l’humanité causées par les conflits internationaux ; 4) éviter les menaces d’extinction de l’humanité causées par les forces de la nature provenant de la planète Terre ; et 5) prévenir les menaces d’extinction de l’humanité provenant de l’espace extérieur. La nouvelle ONU à restructurer en gouvernement mondial devrait mettre en place une structure organisationnelle capable de proposer au gouvernement mondial les mesures nécessaires pour atteindre les objectifs décrits ci-dessus, tels que ceux présentés ci-dessous :

  • Pour éviter l’extinction de l’humanité avec le changement climatique mondial [1], la nouvelle ONU qui sera restructurée en un gouvernement mondial devrait coordonner les actions mondiales pour réaliser des progrès environnementaux dans chaque pays et à l’échelle mondiale sur la base du modèle de développement durable afin de garantir que les besoins des générations actuelles se produisent sans compromettre les besoins des générations futures, mettre fin à la dégradation constante de l’environnement caractérisée par l’épuisement des ressources naturelles de la planète et le changement climatique qui menacent l’avenir de l’humanité. Le caractère non durable du modèle actuel de développement capitaliste est évident, car il a été extrêmement destructeur des conditions de vie sur la planète. Face à cela, il est impératif de remplacer l’actuel modèle économique capitaliste dominant dans le monde entier par un autre qui prend en compte l’homme intégré à l’environnement, à la nature, c’est-à-dire le modèle de développement durable qui ne peut se réaliser qu’avec la célébration d’un Contrat Social Planétaire qui établirait les bases des relations entre les pays en matière d’environnement et des relations entre l’être humain et la nature.
  • Pour éviter l’extinction de l’humanité avec l’apparition de pandémies [1], la nouvelle ONU, qui doit être restructurée en un gouvernement mondial, devrait coordonner les actions mondiales pour amener chaque pays à apporter de profonds changements dans sa relation avec la nature afin de prévenir de nouvelles pandémies qui menacent l’existence des êtres humains et investir massivement dans la R&D visant à développer des vaccins pour lutter contre les virus et les nouvelles bactéries actuels et nouveaux. Les êtres humains doivent commencer à vivre en harmonie avec la nature, sans quoi leur survie sera menacée. Les faits de la réalité démontrent que la santé des êtres humains dépend de la santé de la planète. Il doit y avoir une mobilisation de la société civile à travers la planète pour construire un nouvel ordre mondial dans lequel il y aura un changement radical dans la conception du développement telle qu’elle est pratiquée depuis des siècles. L’ONU doit coordonner des actions mondiales pour changer la matrice économique en général (agricole, industrielle et des services) afin de répondre à la nécessité de préserver la nature, de respecter les limites de l’environnement et son temps de récupération et de cesser de produire autant de déchets. L’ONU doit coordonner les actions mondiales pour arrêter immédiatement la dégradation et la déforestation des forêts et renforcer les systèmes de surveillance de la santé de tous les pays et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), réduire les inégalités sociales entre et au sein des nations, supprimer les subventions qui favorisent la déforestation et offrir davantage de soutien aux peuples autochtones, pour contenir la déforestation, entre autres mesures.
  • Pour éviter l’extinction de l’humanité avec le déclenchement de la 3ème Guerre mondiale [1], la nouvelle ONU, qui doit être restructurée en un gouvernement mondial, doit éviter la prolifération des guerres dans le monde et, surtout, de celles qui contribuent au déclenchement de la 3ème Guerre mondiale qui pourrait entraîner l’utilisation d’armes nucléaires par les prétendants et conduire à l’extinction de l’espèce humaine. La nouvelle ONU, qui doit être restructurée en un gouvernement mondial, doit coordonner les actions mondiales pour garantir que l’humanité reçoive aussi rapidement que possible les instruments nécessaires pour construire la paix mondiale et contrôler son destin. La nouvelle ONU, qui doit être restructurée en un gouvernement mondial, doit agir pour parvenir à une paix perpétuelle sur notre planète, comme le souhaitait le grand philosophe autrichien Emmanuel Kant. Le nouveau système international devrait fonctionner sur la base d’un contrat social planétaire qui serait la Magna Carta des habitants de la planète Terre. La nouvelle ONU, qui sera restructurée en un gouvernement mondial, devrait arbitrer les conflits internationaux sur la base du Contrat Social Planétaire approuvé par tous les pays du monde. Tous les conflits internationaux devraient faire l’objet d’une médiation par le gouvernement mondial, qui préparerait une ou plusieurs propositions pour résoudre les conflits d’un commun accord avec les parties en conflit, qui seraient analysées par le Parlement mondial, qui approuverait la proposition ou des propositions de résolution de conflits qui seront ensuite analysées par la Cour Suprême Mondiale  pour évaluer s’ils seraient conformes au Contrat Social Planétaire. Les propositions de résolution de conflit approuvées par la Cour suprême mondiale seraient ensuite mises en œuvre par le gouvernement mondial en accord avec les parties en conflit par le biais d’une résolution basée sur les décisions de la Cour suprême mondiale.
  • Pour éviter l’extinction de l’humanité avec les menaces causées par les forces de la nature provenant de la planète Terre [2], qui concernent le refroidissement du noyau de la planète Terre, l’éruption catastrophique des volcans et  la réversion des pôles magnétiques terrestres, dont le processus peut conduire à la perte du champ magnétique terrestre, la nouvelle ONU qui doit être restructurée en un gouvernement mondial devrait coordonner les actions mondiales, en réunissant toutes les compétences essentielles qui existent dans le monde avec la mise en œuvre d’une Organisation mondiale pour la défense de l’humanité contre les forces de la Nature Originaire de la Planète Terre qui a la capacité de coordonner techniquement les actions à travers le monde pour faire face à ces menaces provenant de la planète Terre. Il est important que, face à la menace d’extinction de l’espèce humaine, soient élaborées bien à l’avance des stratégies de fuite des êtres humains vers des endroits comme Mars ou d’autres endroits du système solaire ou à l’extérieur capables d’abriter la vie humaine, avant la perte du champ magnétique terrestre et du déséquilibre de la chaîne alimentaire de la planète résultant du refroidissement du noyau terrestre, adopter les mesures nécessaires pour évacuer les êtres humains vers des lieux sûrs et même, si nécessaire, hors de la planète Terre dans des endroits susceptibles d’être habités dans le système solaire ou en dehors de celui-ci dans le cas où l’éruption de volcans comme cela s’est produit dans le passé pourrait conduire à une menace d’extinction de l’être humain et protéger les êtres humains en construisant des habitations souterraines et des villes souterraines sur toute la planète capables de abriter la vie humaine en la protégeant, celle du rayonnement cosmique et solaire lors de  la réversion des pôles magnétiques terrestres.
  • Pour éviter l’extinction de l’humanité avec des menaces venant de l’espace extérieur [3] qui concernent la collision d’astéroïdes, de comètes ou de morceaux de comètes sur la planète Terre, la collision de planètes du système solaire sur la planète Terre, la collision de planètes sur la planète Terre des orphelins errant dans l’espace, émission de rayons cosmiques, notamment de rayons gamma émis par les étoiles supernova, conséquences catastrophiques sur l’environnement terrestre résultant de l’augmentation continue de la distance de la Lune de la Terre, mort du Soleil, collision des galaxies d’Andromède et de Via la Voie Lactée où se trouve la Terre, et la fin de l’Univers, la nouvelle ONU qui sera restructurée en un gouvernement mondial devrait coordonner les actions mondiales pour rassembler toutes les compétences essentielles existant dans le monde avec la mise en œuvre d’une Organisation mondiale pour la défense de l’humanité contre les menaces venant de l’espace extérieur qui a la capacité de coordonner techniquement les actions à travers le monde pour faire face à ces menaces venues de l’espace extérieur. Il est important que, face à la menace d’extinction de l’espèce humaine, sont élaborées longtemps à l’avance les stratégies de fuite des êtres humains vers d’autres endroits du système solaire comme Mars, Titan (lune de Saturne) et Callisto (lune de Jupiter) avec la possibilité d’être habités par les êtres humains, la fuite des êtres humains de la Terre vers des endroits avec la possibilité d’être habités dans d’autres systèmes stellaires, comme l’exoplanète “Proxima b” en orbite autour de l’étoile la plus proche du Soleil, qui fait partie du système Alpha Centauri, la fuite de les êtres humains vers des endroits avec la possibilité d’être habités dans d’autres galaxies comme la galaxie naine Canis Major située à 25 mille années-lumière de la Terre, ou le Grand Nuage de Magellan qui est situé à 163 mille années-lumière de la Terre, et la fuite des êtres humains de Terre vers des endroits avec la possibilité d’être habités dans d’autres univers parallèles dont l’existence doit être scientifiquement prouvée.

LES RÉFÉRENCES

  1. ALCOFORADO, Fernando. Les menaces d’extinction de l’humanité par les êtres humains eux-mêmes et comment les éviter. Disponible sur le site Web <https://www.linkedin.com/pulse/les-menaces-dextinction-pour-lhumanit%2525C3%2525A9-%2525C3%2525A0-partir-de-g%2525C3%2525A9rer-alcoforado-nrklf/?trackingId=RKFdn%2FfRkYFSBf4OOxzPfg%3D%3D>.
  2. ALCOFORADO, Fernando. Les menaces d’extinction pour l’humanité causées par la planète terre, comment les gérer et comment les éviter. Disponível nos websites <https://www.linkedin.com/pulse/les-menaces-dextinction-pour-lhumanit%C3%A9-caus%C3%A9es-par-la-alcoforado-xe79f/?originalSubdomain=fr>.
  3. ALCOFORADO, Fernando. Les menaces d’extinction pour l’humanité causées par la planète terre, comment les gérer et comment les éviter. Disponível nos websites <https://www.linkedin.com/pulse/les-menaces-dextinction-pour-lhumanit%2525C3%2525A9-%2525C3%2525A0-partir-de-g%2525C3%2525A9rer-alcoforado-nrklf/?trackingId=RKFdn%2FfRkYFSBf4OOxzPfg%3D%3D>.

​* Fernando Alcoforado, 84, a reçoit la Médaille du Mérite en Ingénierie du Système CONFEA / CREA, membre de l’Académie de l’Education de Bahia, de la SBPC – Société Brésilienne pour le Progrès des Sciences et l’IPB – Institut Polytechnique de Bahia, ingénieur de l’École Polytechnique UFBA et docteur en Planification du Territoire et Développement Régional de l’Université de Barcelone, professeur d’Université (Ingénierie, Économie et Administration) et consultant dans les domaines de la planification stratégique, de la planification d’entreprise, planification du territoire et urbanisme, systèmes énergétiques, a été Conseiller du Vice-Président Ingénierie et Technologie chez LIGHT S.A. Entreprise de distribution d’énergie électrique de Rio de Janeiro, coordinatrice de la planification stratégique du CEPED – Centre de recherche et de développement de Bahia, sous-secrétaire à l’énergie de l’État de Bahia, secrétaire à la  planification de Salvador, il est l’auteur de ouvrages Globalização (Editora Nobel, São Paulo, 1997), De Collor a FHC- O Brasil e a Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um Projeto para o Brasil (Editora Nobel, São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do Estado da Bahia (Tese de doutorado. Universidade de Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003), Globalização e Desenvolvimento (Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século XVI ao Século XX e Objetivos Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The  Necessary Conditions of the Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM Verlag Dr. Müller Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e Catástrofe Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia Sustentável- Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico e Social (Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015), As Grandes Revoluções Científicas, Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016), A Invenção de um novo Brasil (Editora CRV, Curitiba, 2017), Esquerda x Direita e a sua convergência (Associação Baiana de Imprensa, Salvador, 2018), Como inventar o futuro para mudar o mundo (Editora CRV, Curitiba, 2019), A humanidade ameaçada e as estratégias para sua sobrevivência (Editora Dialética, São Paulo, 2021), A escalada da ciência e da tecnologia e sua contribuição ao progresso e à sobrevivência da humanidade (Editora CRV, Curitiba, 2022), est l’auteur d’un chapitre du livre Flood Handbook (CRC Press, Boca Raton, Floride, États-Unis, 2022), How to protect human beings from threats to their existence and avoid the extinction of humanity (Generis Publishing, Europe, Republic of Moldova, Chișinău, 2023) et A revolução da educação necessária ao  Brasil na era contemporânea (Editora CRV, Curitiba, 2023).​

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Author: falcoforado

FERNANDO ANTONIO GONÇALVES ALCOFORADO, condecorado com a Medalha do Mérito da Engenharia do Sistema CONFEA/CREA, membro da Academia Baiana de Educação, da SBPC- Sociedade Brasileira para o Progresso da Ciência e do IPB- Instituto Politécnico da Bahia, engenheiro pela Escola Politécnica da UFBA e doutor em Planejamento Territorial e Desenvolvimento Regional pela Universidade de Barcelona, professor universitário (Engenharia, Economia e Administração) e consultor nas áreas de planejamento estratégico, planejamento empresarial, planejamento regional e planejamento de sistemas energéticos, foi Assessor do Vice-Presidente de Engenharia e Tecnologia da LIGHT S.A. Electric power distribution company do Rio de Janeiro, Coordenador de Planejamento Estratégico do CEPED- Centro de Pesquisa e Desenvolvimento da Bahia, Subsecretário de Energia do Estado da Bahia, Secretário do Planejamento de Salvador, é autor dos livros Globalização (Editora Nobel, São Paulo, 1997), De Collor a FHC- O Brasil e a Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um Projeto para o Brasil (Editora Nobel, São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do Estado da Bahia (Tese de doutorado. Universidade de Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003), Globalização e Desenvolvimento (Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século XVI ao Século XX e Objetivos Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The Necessary Conditions of the Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM Verlag Dr. Müller Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e Catástrofe Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia Sustentável- Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico e Social (Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015), As Grandes Revoluções Científicas, Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016), A Invenção de um novo Brasil (Editora CRV, Curitiba, 2017), Esquerda x Direita e a sua convergência (Associação Baiana de Imprensa, Salvador, 2018, em co-autoria), Como inventar o futuro para mudar o mundo (Editora CRV, Curitiba, 2019), A humanidade ameaçada e as estratégias para sua sobrevivência (Editora Dialética, São Paulo, 2021), A escalada da ciência e da tecnologia ao longo da história e sua contribuição ao progresso e à sobrevivência da humanidade (Editora CRV, Curitiba, 2022), de capítulo do livro Flood Handbook (CRC Press, Boca Raton, Florida, United States, 2022), How to protect human beings from threats to their existence and avoid the extinction of humanity (Generis Publishing, Europe, Republic of Moldova, Chișinău, 2023) e A revolução da educação necessária ao Brasil na era contemporânea (Editora CRV, Curitiba, 2023).

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